Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°171 :
Fait chier… je voulais retourner voir papa Khan mais je viens de me rappeler que Régis m’avait demandé de trouver des preuves que la Légion les trahira pour être sûr de convaincre le chef. Le problème c’est que le seul moyen de trouver ces preuves, c’est de s’introduire dans la tente de Caesar…
Je vais me rendre à leur camp, j’improviserai là-bas.
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°172 :
Je viens de tomber sur un autre groupe d’assassins de la Légion ! Ils s’en sont pris aux marchands que je venais de croiser. J’ai essayé de les protéger mais il y a eu peu de survivants.
Il est vraiment temps que je fasse quelque chose. Je vais aller toucher deux mots à Caesar concernant ses assassins quand je serais de passage à son camp !
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°173 :
Me voilà devant l’abri 11… je peux bien m’arrêter cinq minutes le temps de voir ce qui se trame là dedans, non ?
Ça fait déjà plusieurs jours que Caesar attends avant de passer à l’assaut du barrage Hoover, il peut bien attendre quelques heures de plus avant que je lui botte le cul.
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°174 :
Le lieu a été infesté de rats et de mantes géantes mais il se trame quelque chose d’encore plus bizarre ici. À l’entrée, quatre cadavres et un enregistrement où je comprends pas tout. Il semblerait que ces mecs aient honte de ce qui c’est passé ici et on entend des coups de feu. Je sais pas s’ils se sont entretués ou suicidés.
En plus de ça, sur tous les ordis du complexe j’ai trouvé les mêmes discours. Il semblerait que les superviseurs dans cet abri soient élus régulièrement, et il doit leur arriver quelque chose à la fin de leur mandat. L’idée m’est donnée par le fait que les candidatures demandent toutes qu’on ne vote pas pour eux, comme s’ils craignaient d’être élus.
Cela dit, l’un des superviseurs semble avoir changé ça. Une certaine Katherine Stone. Apparemment elle a décrété que les superviseurs seraient maintenant tirés au sort.
Nan mais c’est quoi ces conneries, il y avait un grave problème ici.
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°175 :
Les niveaux inférieurs sont truffés de pièges et de cadavres, on dirait qu’il y a eu une guérilla ici ! Quoi qu’il se passe avec les superviseurs, ça a suscité des tensions qui ont amené à un soulèvement, mais quelques chose leur fait assez peur pour qu’il reste des fidèles à la hiérarchie. Je trouve ça de plus en plus inquiétant.
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°176 :
Bon, ça y est, j’ai l’explication de ce qui se trame ici… mais je suis pas sûr d’y croire pour autant ou d’avoir tous les éléments. Il semblerait que chaque année, à la fin de son mandat, le superviseur soit sacrifié dans une salle cachée sous son bureau. Cette demande serait faite par l’ordinateur central de l’abri, et les habitants n’auraient pas eu le choix, sinon ils auraient tous été tués.
C’est flippant de se dire qu’un putain d’ordi a pris le contrôle ici. Je pense qu’il est temps d’aller le débrancher.
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°177 :
Mais c’est quoi ces conneries… je suis accueilli dans la salle de sacrifice par une cassette qui globalement me demande de me détendre et de penser aux belles choses que j’ai faites dans la vie… mais ma vie EST une belle chose !
*Grincement métallique*
Tiens, les panneaux latéraux sont en train de s’ouvrir…
*Tirs de laser*
BORDEL !!! DES ROBOTS !
*Tirs de laser*
LÀ-BAS ! UNE PORTE OUVERTE !
*Tirs de laser*
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°178 :
J’ai réussi à me réfugier dans une sorte de salle de contrôle et j’ai tenté de désactiver tout ce que je pouvais mais les tourelles et les robots me canardent toujours ! J’ai déjà plusieurs blessures de leurs lasers.
Bon… plus le choix. On ne vit qu’une fois après tout.
YAAAAAAAAH !!
*Coups de feu*
Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°179 :
*Respiration forte*
C’est bon, plus d’ennemi, mais j’ai presque plus de matos de soin, j’ai tout cramé…
*Respiration forte*
J’ai téléchargé les enregistrements que j’ai pu trouvé sur l’ordinateur central pour voir si je pouvais avoir plus d’info et j’en crois pas mes oreilles…
En gros, des habitants ont décidé d’arrêter les sacrifices, ils étaient plus que cinq après la guérilla et ils en pouvaient plus. L’ordi les a félicité pour leur respect de la vie humaine et leur a dit que tout allait bien se passer, ils allaient pouvoir quitter l’abri… Du coup, je pense que les gars ont pas supporté, ils se sont tirée une balle, sauf un. Il n’y aura eu qu’un survivant à cette expérience débile. Vous savez le plus drôle, les derniers mots de l’enregistrement de l’ordi : “Votre sécurité est la priorité de Vault-Tec”.
Ça c’est la meilleure !