Journal d’Ernest Deschamp – Épisode 16 : Un jeudi

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°180 :

Me voilà de retour sur la route pour le campement principal de la légion, mais je viens de tomber sur un de leur avant-poste. Ça va être leur fête !

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°181 :

Il n’y avait que des recrues et un centurion ici, un jeu d’enfant. J’ai découvert quelques soldats de la RNC crucifiés, et ils étaient encore assez fort pour que je les détache sans les achever. Encore des vies de sauvées par Ernest Deschamp !

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°182 :

Me voilà arrivé aux quais qui permettent de rallier le campement. J’avais déjà fait le ménage ici. J’ai vérifié mon équipement, je suis prêt. Le seul problème, c’est qu’en arrivant là haut, je vais pas pouvoir me planquer et ils risquent de me tirer à vue.

C’est parti !

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°183 :

Je viens de me charger des gars de l’entrée. Quatre salopards de moins sur cette terre. Il semblerait que l’alerte soit pas encore passée. Profitons-en.

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°184 :

J’ai fait le ménage à l’extérieur. Mon fusil de sniper a une fois de plus fait son office, mais je crois que ça commence à bouger à l’intérieur. 

À l’assaut !

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°185 :

Ils sont encore en train de s’organiser et certains ne savent même pas ce qu’il se passe ! 

*Trois coups de feu*

Hahahahaha ! C’est la panique !

*Deux coups de feu*

Ils font bien les fiers quand ils envoient leurs assassins à mes trousses, mais si tous leurs meilleurs hommes me traquent, il reste qui au campement ?

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°186 :

Voilà qui est fait, plus personne qui traine dans le camp. Maintenant à nous deux Caesar. Il s’est retranché avec sa garde dans sa tente. Je serais bien tenté d’y mettre le feu, mais un combat en face à face c’est bien plus gratifiant.

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°187 :

Avé Caesar, celui qui va te buter te salue !

*Coup de feu*

Merde, j’ai loupé sa tête d’un centimètre ! Et voilà un de ses gardes qui fonce ! RETRAITE !!

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°188 :

Voilà qui est fait pour le garde, et Caesar a suivi. Les autres gardes doivent me traquer dans le camp. On se croirait dans un de ces vieux westerns… sauf que lui il a pas de flingue.

*Trois coups de feu*

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°189 :

Sérieusement Caesar, à quoi sert une garde personnelle armée uniquement de poing balistique ? Je te demande ça parce que je viens de les truffer de plomb et toi avec pendant que vous essayiez de me charger.

Pourquoi je parle à un cadavre me demanderez vous… j’en sais rien, j’essaye de comprendre ce choix stratégique des plus discutable…

*Soupir*

C’en est fini de Caesar. Au moins, avec un peu de chance la Légion va se disperser et j’aurais plus qu’à aller demander gentillement à la RNC de me laisser le barrage Hoover.

On verra. En attendant je dois retourner voir papa Khan, j’ai récupéré les preuves. Oui, c’est pour ça que j’étais venu à la base.

Pip Boy 020797 – Entrée de journal n°190 :

J’ai convaincu papa Khan, il a décidé de rompre son alliance avec Caesar. En même temps, ça n’a pas été trop compliqué, la dernière “tribu” à avoir suivi la Légion a été réduite en esclavage une fois qu’elle ne servait plus. Je lui ai pas dit pour Caesar, je lui laisse la surprise.

Aaaaah.

Une bien belle journée.

Pour Caesar c’était sans doute la journée la plus importante de sa vie… Et de sa mort… Mais pour Ernest Deschamp, c’était un jeudi.

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